
LES NOCES DE FIGARO
C’est un plaisir de retrouver HERMINE HUGUENEL dans le rôle de Marceline, après sa mémorable reine Popotte du « Voyage dans la lune » d’Offenbach en 2014. Son formidable tempérament en fait une figure marquante. La scène de rivalité avec Suzanne au premier acte, alors qu’elle ne sait pas encore que Figaro est son fils, est particulièrement réjouissante. C’est un moment où l’on éclate encore de rire, en toute liberté.
Christophe Gervot, www.fragil.org, 28 septembre 2017
CARMEN
Le triomphe d'une Carmen rafraîchissante. Jeudi soir dans les arènes de Bayonne, quelque 2 500 spectateurs ont acclamé la mezzo-soprano HERMINE HUGUENEL [...]
Sud Ouest, 4 août 2012
MADAME BUTTERFLY
[...] excellente et humaine Suzuki d'HERMINE HUGUENEL...
Jean-Marcel Humbert, ForumOpera.com, 11 décembre 2012
[...] on a rarement vu Suzuki interprétée avec autant d’investissement vocal et scénique ; HERMINE HUGUENEL, remporte un succès bien mérité.
Sylvain Angonin, ForumOpera.com, 13 novembre 2011
La mezzo-soprano HERMINE HUGUENEL (Suzuki) et le baryton Sergio Bologna (Sharpless) accomplissent leurs devoirs de seconds rôles plus qu’honorablement [...]
Nicola Lischi, Opera Britannia.com, 21 novembre 2011
RIGOLETTO
Excellente la Giovanna/Maddalena d’HERMINE HUGUENEL, tout aussi satisfaisante, la veille, en Madame Larina.
Catherine Scholler, Opéra Magazine, 31 juillet 2011
HERMINE HUGUENEL se distingue en interprétant avec éclat deux rôles : celui de la duègne qui se fait lutiner par le duc en même temps qu’il séduit Gilda et Maddalena, dont elle restitue brillamment la sensualité et la vitalité.
Catherine Jordy, ForumOpera.com, 9 août 2011
EUGÈNE ONÉGUINE
HERMINE HUGUENEL rayonne en Larina. A noter sa très bonne prononciation du russe...
Catherine Jordy, ForumOpera.com, 12 août 2011
HERMINE HUGUENEL est une exquise Madame Larina.
Catherine Scholler, resMusica.com, 8 août 2011
CD SUPPLÉMENTS D’ÂME
La mezzo-soprano est HERMINE HUGUENEL. Elle aussi… elle a assez d’étincelles dans la voix pour enflammer.
Rob Barnett, musicweb-international.com
On a affaire à un assemblage prégnant de timbres entremêlés, aux résonances confondues avec la voix inimitable d’HERMINE HUGUENEL au sommet de son art, rendant avec passion l’intelligibilité et l’intériorité du texte.
Gérard Sapet, Le Renouveau, 28 août 2009
LIEDER DE SCHUBERT
HERMINE HUGUENEL et Dorothée Leclair […] chantent à la perfection. Cette architecture du concert régale l'intelligence en même temps que la sensibilité.
Claudine Chaigneau, theatredublog.unblog.fr, 3 août 2009
LA TRAVIATA
HERMINE HUGUENEL en Flora […] fait regretter la trop courte durée de sa prestation.
Simon Corley, concertonet.com
LE BARBIER DE SÉVILLE
On saluera […] l’aisance dans les coloratures d’HERMINE HUGUENEL (Rosine).
Yutha Tep, La lettre du musicien, octobre 2008
HERMINE HUGUENEL incarne une Rosine fort peu ingénue et qui sait mener son monde ; elle possède la tessiture du rôle et en déjoue les pièges avec brio.
Simon Corley, concertonet.com
HERMINE HUGUENEL campe une héroïne attachante et révèle un joli don pour la vocalise rossinienne.
Marc Chamblain, resMusica.com, 8 août 2008
Il faut souligner la Rosine de choc d’HERMINE HUGUENEL.
Marc Laborde, UTmiSOL, octobre 2008
HERMINE HUGUENEL est une Rosine appétissante, rusée malicieuse, au beau timbre de mezzo colorature et aux vocalises impeccables.
Jean-Marcel Humbert, ForumOpera.com
La Rosine d’HERMINE HUGUENEL est déjà une petite peste qui ne s’en laisse pas conter, même par un comte… elle s’amuse comme une folle et nous aussi et vous envoie ses airs comme des billets doux.
Jacques Doucelin, concertclassic.com, 31 juillet 2008
SUOR ANGELICA
HERMINE HUGUENEL, imposante d’autorité dans le rôle de la Princesse.
Bernard Dejean, octobre 2008
FAUST
Les seconds rôles ne déméritent pas non plus à commencer par une révélation : HERMINE HUGUENEL interprétant le jeune Siébel avec une fougue et en jeune amoureux ; très vocal et très dynamique.
Antoine Pagnier, ODB Opéra, 15 novembre 2007
On aura apprécié le chant clair et stable d’HERMINE HUGUENEL (Siébel).
Laurent Bergnach, Anaclase.com, 19 novembre 2007